Weaver Autumn ft. Avril Lavigne Salut ! Moi c’est Weaver Autumn et j’ai 20 ans, je suis donc né(e) le 1er Janvier 1992 à Londre et je suis de nationalité Anglaise. Comme tu as surement pu le remarquer en regardant mon avatar, je suis de sexe féminin. Puisque que l’on y est, je peux aussi te dire que je suis hétérosexuelle et en couple avec Yoon Ji, mon groupe sanguin est A et mon signe du zodiaque chinois est la chèvre/mouton! Pour ce qui est de ma "race", je suis un démon. Mon pouvoir est donc laMétamorphose en panthère des neige. Dans cette université je viens surtout pour essayer de cohabiter avec les Ange, mes pires ennemis mais aussi pour étudier en Humanitaire & Scientifique dans les matières suivante : langues étrangères, droit et psychologie. Ah, dernière chose ! Je suis en 2ème année. Voilà, je crois que c’est à peu près tout.

« Il y a un temps pour tout : un temps pour naître et un temps pour mourir. »

Caractère Bien que tous le monde pense que je suis une garce, une pute, une salope bref tout ce que vous voulez, et ça sans me connaitre, sachez que je ne suis pas du tout se genre de fille. Je sais très bien que mon apparence joue beaucoup là-dessus mais j’aime être belle c’est tout, ce n’est pas pour autant que je suis le genre de fille à faire le trottoir pour avoir de la tune. Non, vraiment pas. Je suis une meuf vraiment sympathique qui a la fâcheuse habitude de dire haut et fort ce que les autres pensent tout bas. Je suis honnête et je déteste les mensonges plus que tout ! A cause de cet apparence, la plus part des filles ne veulent pas me connaitre, et à cause de tout mes piercings, tous le monde pense que je suis bizarre alors la plus part du temps les gens m’évitent et me regardent avec un mauvais œil. Je suis du genre un peu gothique alors ça fait un peut peur aux gens. Je ne sais pas si en Corée ça sera pareille qu’en Angleterre mais je n’espère pas… Parce que j’ai vraiment le cœur sur la main et je veux me faire des amis, des amis en qui je pourrais vraiment avoir confiance et qui en retour, auront confiance en moi. Bien que je sois gentille, j’utilise un vocabulaire assez arrogant ce qui ne plait pas à tous le monde non plus. Je n’aime pas vraiment me faire engueuler et je mets facilement en colère. Je suis le genre de fille qu’on ne doit pas faire chier parce que lorsque je n’aime pas quelqu’un, je fais tout pour lui en faire baver. Je suis très rancunière Je suis aussi très impulsive et j’agis donc sans réfléchir au moins une seconde aux conséquences de mes actes ou de mes paroles. Je ne suis pas du tout timide et ça beaucoup de gens vous le diront. Je peux parler à n’importe qui sans même le connaitre, je peux danser toute seule sur une musique lors d’une fête pour attirer du monde et tout et tout. En plus de ça, je n’ai pas du tout peur du ridicule, j’ai toujours dit que celui-ci ne tuez pas. Combien de fois j’ai pu me ridiculisé… Par contre je n’aime pas quand c’est une personne qui me ridiculise juste parce que mon caractère ou ma beauté ne lui plait guère.

Infos supplémentaires - Moi, j'aime les gros romans bien longs avec une toute petite taille d'écriture. Si pour certain c'est décourageant pour moi c'est totalement le contraire, plus c'est long, plus j'aime ! - Moi, J'aime les film d'horreur, ils ne me font pas du tout peur, au contraire, je suis toujours entrain de rire, surtout quand on voit bien les scènes gores. - Moi, pour avoir des cheveux aussi beaux, je mets des extensions. Parce que je le vaux bien. -rire- - Moi je fume même si c'est pas bien. Et j'emmerde tout ceux qui me dirons que c'est pas bon pour ma santé et qu'il faut que j'arrête.

Part of history Moi, j'étais un beau bébé. Du moins c'est ce qu'ont dis les sages-femmes, et les médecins par la suite, tout comme mes parents ravis d'accueillir un enfant au sein de leur famille. Je ne les ai jamais contredis, je pense que ça leur aurait fait trop de peine. Des yeux d'où brillaient la sincérité et l'intelligence qui en faisaient fondre plus d'un, un sourire et un rire joyeux, le seul hic à mon épanouissement était le fait que j'ai malheureusement hérité de la génétique de mon père. Alors que ma mère était une humaine, mon géniteur avait la malchance d'être né démon, et de m'avoir refilé sa condition. Mais dans les premiers mois de ma vie, plus largement les premières années, ceci ne m'a pas posé le moindre problème. J'ai eu le loisir de partager ma vie avec des gens conciliants, ouverts d'esprit, intelligent et accueillant : mes parents, mes voisins, ma grand-mère... D'ailleurs en passant, je n'ai manqué de rien. Ma mère était PDG d'une entreprise. Certes je la voyait moins, je vous l'accorde, mais j'ai toujours su respecter son boulot et ne pas m'y interposer. Du moins je crois. J'ai eu tout ce dont j'ai eu besoin, parfois plus, jamais moins. C'était le bon temps, le calme avant la tempête, dit-on couramment. Maternelle, primaire, je vous passe les détails, savoir que le dimanche je sais plus combien, j'ai fais tomber un verre sur le pied d'un invité ne vous intéresse pas, je crois ? En tout cas, moi, je m'en fous, et royalement. Le déluge de catastrophe a commencé vers mes huit ans. Ma mère était en voyage d'affaire, et mon père récemment recruté dans sa boîte dû la rejoindre. Je me retrouvai donc seule avec mon adorable grand-mère pendant une période de deux semaines. « Le Maroc, autant en profiter », disaient mes parents, ainsi que « on te ramènera quelque chose, ne t'en fais pas mon chaton, on ne part pas longtemps ». C'était amusant. Le chien de mes grands-parents, les bêtises de mon grand-père, la visite de quelques cousins pendant ces deux semaines, je n'étais pas mécontente. Au terme de ces deux semaines, j'attendais tout de même impatiemment, plantée devant la télévision, la regardant distraitement. Je comptais les minutes, l'avion de mes parents ne tarderai pas à atterrir. « Flash Info ; Un drame a eu lieu lors du vol Maroc-Londres, l'avion à destination de Londres aurait perdu peu à peu de la hauteur pour finir en vol piqué, s'écrasant en plein milieu de l'Atlantique. Les conditions de cette perte de contrôle nous sont encore inconnues. Nous aurons plus d'informations sous peu. » En effet, ce sous-peu arriva le lendemain. L'enterrement de mes parents dans la même semaine, bien que ce ne soit que purement religieux, leurs corps n'ayant jamais été retrouvés. Dans les deux années qui suivirent, je vécus avec mes grands-parents, jusqu'à ce que le coeur de mon grand-père lâche, et que ma grand-mère soit emportée de maladie. C'est à ce moment que ma condition démoniaque a commencé à me poser problème. Et de sérieux problèmes, même. J'avais bien des oncles, des tantes, mon parrain et ma marraine, ou encore des cousins adultes, mais dans une famille d'humain majoritairement, qui avait assez de place dans son coeur pour moi ? Personne, absolument personne. La seule personne à qui je n'en veux pas est le frère de mon père. Au chômage et avec ses huit enfants, c'est par obligation qu'il n'a pas pu m'adopter. J'ai donc été placée en orphelinat. Si vous imaginez dès lors une période heureuse comme dans les films, ou les séries, ou chaque enfant s'entend à merveille, vous vous trompez lourdement. Ce fut les pires années de mon existence. Une prison, voilà ce que c'était : des murs gris, des barreaux aux fenêtres et comme des chiens, des horaires de sorties, qu'il vente qu'il pleuve ou qu'il neige, pour qu'on ne soit pas trop chiants. De mes dix ans à mes douze ans, ce fut cependant respirable, vivable. Mais quand cette famille a débarqué, ils avaient signé en entrant mon arrêt de mort, je l'ai longtemps cru. Des caïds, des durs à cuir, qui avaient rallié tout l'orphelinat à leur cause. Et j'ignore toujours pourquoi, je fus leur bête noire. Sans doute parce que j'étais la seule démone. L'unique. Même les adultes ne pouvaient pas me voir. J'étais irrémédiablement en manque d'amour. Lors d'une de mes sorties, nous étions passées par un cyber-café, une amie et moi. J'avais treize ans, et j'étais rouée de coups chaque jour, défigurée presque. La curiosité devant un ordi libre m'a brûlée au vif et nous avions pris place face à l'écran. Les recherches internet défilaient, puis pour rire nous avions tapé un site de rencontre. Je crois qu'à ce moment là une personne a eu la même idée que moi. Il s'appelait Lee Yoon Ji, et comme vous vous en doutiez, c'était un coréen. Oui, de Corée. Alors que diable foutait-il là ? Je me rappelle lui avoir très vite parlé, puis nous avions du rentrer. Je l'ai ajouté en ami, il m'était tout de même pas mal sympathique, ce garçon là. Même si son anglais était encore pas terrible. Deux jours après je me tenais face à un lavabo, vomissant toutes mes tripes, et du sang. J'avais fais une tentative de suicide, l'air été réellement devenu irrespirable pour moi. Les médicaments ingérés, cumulés, au hasard et sans la moindre précaution, me brûlaient, me détruisaient. Chance ou malchance, ma vie ne s'arrêta pas là, et me je réveillais dans un zoo. Un zoo, au milieu des fauves. Mes pattes lourdes, ma tête tournant, mon ventre en flamme, puis il y eu un cris. On me sorti de là, craignant pour ma vie. Un humain avec les fauves, c'était dangereux. Je n'ai toujours rien compris à ce qu'il s'est passé. Depuis ce jour, je crois que Yoon Ji est devenu un élément essentiel de ma vie, un engrenage sans lequel rien ne tourne comme il faut chez moi. Non seulement ce fut lui et ses mots agréables qui m'aidèrent à remonter la pente, mais il était aussi devenu le seul ami que je n'avais jamais eu. Et finalement, plus encore. Mes escapades au cyber-café furent plus fréquentes. Le voir était devenu une nécessité, car maintenant que suite à ma maîtrise de ma transformation, plus personne ne m'embêtait, j'étais jolie. Je n'avais plus honte. La cam, skype, d'autres moyens de se parler, nous connaissions tout, nous faisions tout. Ma relation avec lui s'est développée. Et nous sommes sortis ensemble. Je sais, par internet, ce n'était pas le mieux, mais c'était tout ce que nous pouvions espérer. Un idylle qui a duré un peu plus d'un an, jusqu'à ce qu'il change, lui aussi. Qu'il devienne insupportable, invivable, méchant, froid. Crise d'adolescence ? J'en sais rien, il a jamais rien voulu me dire, il ne me parlait même plus. Alors j'ai mis fin à notre relation. Bien que de véritables sentiments se soient créés par dessus la virtualité. J'ai eu l'âge de travailler, je l'ai fais. Personne ne voulait plus de moi, alors j'ai repris ma vie en mains seule. Un simple boulot de serveuse, avec ses poses clopes. J'avais 19 ans, j'avais changé, mais Yoon Ji était encore présent dans mon esprit. Puis je parlais un minimum coréen suite à mes années d'apprentissage avec lui. Mon but était de rejoindre l'Angel's-Vice, je travaillais pour. J'étais belle, je le suis toujours, je sais. Blonde, bien maquillée, fine et sensuelle, quelques piercings çà et là, de quoi plaire aux hommes. A vingt-ans j'ai atteint mon but. Je suis complètement larguée en cours : je ne parle pas le coréen à la perfection, je ne sais pas le lire, et je n'ai pas eu l'éducation qui m'étais réservée. Mais je suis une bosseuse et j'y arriverai. Je vois que Yoon Ji n'a pas changé, il est devenu pire encore, traînant avec ses deux acolytes. Si seulement mon coeur ne se pinçait pas, je pourrais vivre plus sereinement. Mais j'essaye d'en faire abstraction. Enfin, j'essayais. Je l'aime. Fuck ; Sa foutue réputation.

Derrière l'écran Hey, Hey, Hey ! Alors moi c’est TiteGazelle (je suis la fondatrice) et j’ai un certain âge ! J’ai trouvé le forum grâce à c'est moi qui l'ai fait et je le trouve Magnifique et totalement à mon goût o/. Si j’étais les administrateurs de ce forum, je modifierais ou rajouterais Rien et j'en suis un administrateur o/! Pour ce qui est de ma présence je pense pourvoir être ici 6/7. Pour le Rp, mon niveau est plutôt Moyens. Voili, Voilou !